Lettre x représentant une icône de fermeture
ville, dessin, banc, immeubles,dehors

© Pierre Hébert, Cycling Utrecht, 2015

Introduction à l’animation avec After Effects
avec Jules Boissière

Formation

7-8-14-15-21-22 novembre 2020
Vidéographe

180$ + taxes



36 heures de cours de groupe

Plan de cours ici

Inscriptions : du 16 septembre au 18 octobre inclusivement

► Lien pour l’inscription

Dans la semaine du 19 octobre 2020, les participant.e.s seront contacté.e.s afin de finaliser leur inscription et confirmer leur présence.

Cette formation peut accueillir 5 candidat.e.s, les candidatures seront priorisées selon leur éligibilité avec les conditions d’admissions (voir plus bas).

Description 

Cette formation initiatique à l’animation, par le biais d’After Effects, s’adresse aux gens ayant peu ou pas d’expérience avec le logiciel. Ce cours abordera les bases du logiciel, soit l’interface, des notions de motion design, des notions d’animations et de 3D, et le moteur de rendu. Au cours de la formation, chaque participant.e sera doté.e d’un ordinateur afin de réaliser les exercices pratiques qui lui permettront de mieux assimiler le contenu théorique.

Conditions d’admission

  • Vous devez prouver que cette formation apportera une amélioration de vos conditions d’emploi, que ce soit en améliorant votre condition d’emploi dans votre secteur d’activités et/ou par l’acquisition de compétences pour votre carrière artistique.
  • Vous devez être artiste, professionnel ou demandeur d’emploi du domaine des arts médiatiques résidant sur l’Île de Montréal.
  • Vous devez être disponible pendant toute la durée de la formation et pour toutes les dates de formation.

Ordinateur et logiciel

Au cours de la formation, chaque participant sera doté d’un ordinateur afin de réaliser les exercices pratiques qui lui permettront de mieux assimiler le contenu théorique. Les participant.e.s sont encouragé.e.s à apporter leur ordinateur portable et à avoir sur celui-ci une version fonctionnelle et à jour du logiciel Adobe After Effects. Sur demande et sous réserve de disponibilité, des ordinateurs pourront être mis à la disposition pendant la formation.

Lieu : Vidéographe , 4550 rue Garnier, Montréal, QC H2J 3S7
Date et horaire : 7-8-14-15-21-22 novembre 2020 de 10h à 17h (incluant une pause dîner de 1h)
Accès : métro – arrêt Mont-Royal; Bus – ligne 27, 45 et 97
Prix: 180$ + taxes

La formation sera donnée en français. La salle de formation n’est pas accessible aux fauteuils roulants. La salle de formation respecte les mesures de distanciation physique en vigueur en raison de la pandémie. Pour plus d’informations, consultez notre protocole [+]

Pour tous renseignements additionnels, veuillez contacter :
Charlie Carroll-Beauchamp
(514) 521-2116 (poste 221)
info@videographe.org

photo, homme, nez de clown
Jules Boissière

Diplômé de la maîtrise en création numérique à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Jules Boissiere se spécialise en installations évènementiels et muséales. À travers des expériences narratives et interactives, Jules Boissiere traite d’enjeux contemporains tels que les études écosystémiques, l’anti-déterminisme ou encore la société de surveillance.

Illustration: Lee Lai

Onze organismes culturels montréalais appuient ou réitèrent l’adhésion à PACBI et réaffirment leur engagement envers la libération de la Palestine

COMMUNIQUÉ DE PRESSE



Dans une forte déclaration de solidarité, onze organisations culturelles de Montréal ont officiellement endossé la Campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d’Israël (PACBI), soulignant ainsi leur engagement envers le mouvement mondial de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS). Cette action collective souligne le rôle essentiel de la culture dans la résistance à l’oppression coloniale et le soutien à la libération de la Palestine. Alors qu’un accord de cessez-le-feu a été en partie conclu, ce soutien affirme que la lutte pour la justice, la résistance et la libération est plus importante que jamais.

Le mouvement BDS, lancé en 2004 par la société civile palestinienne, appelle à une pression soutenue et non violente pour mettre fin au projet colonial israélien et à l’occupation continue des terres palestiniennes. Les revendications du mouvement sont les suivantes :

  • Mettre fin à l’occupation et à la colonisation de toutes les terres palestiniennes et démanteler le mur de l’apartheid ; 
  • Reconnaître le plein droit des Palestinien·ne·s à l’égalité, tant à l’intérieur des frontières de 1948 que dans les territoires occupés ; et 
  • Soutenir le droit des réfugiés palestiniens à retourner dans leurs foyers, tel qu’il est inscrit dans le droit international et dans la résolution 194 de l’ONU.

En soutenant PACBI, ces organisations rejettent la complicité dans la normalisation du régime colonial israélien. Au contraire, elles s’engagent à soutenir l’autodétermination palestinienne en encourageant les pratiques artistiques et les collaborations culturelles qui résistent à l’oppression coloniale et amplifient les voix de la libération.

En octobre 2023, plus de 4 000 artistes et travailleurs culturels canadiens ont signé une lettre de solidarité déclarant : « En tant qu’artistes, travailleur·euse·s culturel·le·s et universitaires, nous soutenons fermement la lutte des Palestinien·ne·s pour la liberté et contre toutes les formes de racisme et de violence coloniale. » Cette déclaration collective souligne la conviction que l’art est intrinsèquement politique et que les artistes ont la responsabilité de se solidariser avec les communautés opprimées, y compris les Palestinien·ne·s. (Hernandez, Cassie. “4,000 Canadian Artists and Cultural Workers Sign Palestine Solidarity Letter.” Hyperallergic, 20 Oct. 2023.) 

Montréal, connue pour son paysage culturel dynamique, a une longue histoire d’engagement dans les luttes mondiales pour la justice. Cette décision collective reflète une prise de conscience croissante, parmi les travailleur·euse·s culturel·le·s, de l’importance de la solidarité internationale dans la lutte contre le colonialisme et l’apartheid.  

Ce soutien intervient à un moment critique, alors que les Palestinien·ne·s sont confrontés à une intensification du vol de terres, à une violence systémique et à des déplacements forcés dans le cadre de l’occupation israélienne en cours. La décision des organisations de rejoindre PACBI est une déclaration longuement attendue que la culture doit s’aligner sur les valeurs de justice et de libération.  

Les organisations qui soutiennent cette initiative se joignent à un mouvement mondial croissant d’artistes, d’universitaires et de travailleur·euse·s culturel·le·s qui s’engagent à soutenir le peuple palestinien dans sa lutte pour la libération et l’autodétermination. Ces organisations espèrent que plus d’organismes voudront adopter PACBI partout au Québec et au Canada.

À ce jour, les organisations suivantes ont unies leurs forces pour appuyer ou réaffirmer leurs engagements à PACBI: Ada X, articule, Atelier La Coulée, Céline Bureau, Centre Clark, Centre des arts actuels SKOL, Dazibao, Metonymy Press, Oboro, PME-ART et Vidéographe. 

 

À propos de PACBI  

La Campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d’Israël (PACBI) a été lancée en 2004 dans le cadre du mouvement BDS. Elle appelle les institutions culturelles et les individus à refuser de se rendre complices des violations du droit international et des droits de l’homme commises par le régime colonial, en mettant l’accent sur le pouvoir de transformation de la solidarité mondiale. PACBI est engagé en faveur de la liberté d’expression telle qu’elle est stipulée dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques des Nations Unies (PIDCP) et rejette, en principe, les boycotts d’individus fondés sur leur opinion ou leur identité (telles que la citoyenneté, la race, le genre ou la religion).