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© Jenny Cartwright, Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier, 2021

Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier
un film de Jenny Cartwright
à la Cinémathèque

PROGRAMMATION

Dès le 16 juin 2022
Cinémathèque québécoise



Vidéographe a le plaisir d’annoncer la sortie de Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier de Jenny Cartwright. Présentée à la Cinémathèque Québécoise, cette nouvelle œuvre de l’artiste célèbre la diversité, la richesse et l’unicité du quartier Parc-Extension dans le paysage montréalais.

Ce premier long métrage de Cartwright pose un regard attentif sur Parc-Extension, quartier le plus densément peuplé de Montréal. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier propose une série une série de tableaux intimes et contemplatifs sur celleux qui vivent dans ce secteur en pleine mutation. Particulièrement menacé par l’impitoyable gentrification, l’artiste observe le tissu social singulier du quartier. En soustrayant son œuvre au sous-titrage, Cartwright s’assure de traduire son expérience subjective de Parc-Extension où la barrière du langage est une réalité courante. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier se distingue ainsi autant par son lien évident avec l’actualité, que par ses choix esthétiques forts, de sorte que l’œuvre deviendra certainement un témoin incontournable de cette période marquante de l’histoire de Parc-Extension et de Montréal.

Présentée en première mondiale aux RIDM 2021, cette œuvre de Jenny Cartwright a été reçue comme une véritable découverte.

 

Projections et discussions autour de l’œuvre de Jenny

► Le 16 juin, une discussion entre Jenny Cartwright avec le directeur photo du film, David Cherniak, et un membre du Comité d’action Parc-Extension, ainsi qu’un cocktail de lancement suivront la projection.

► La projection du 18 juin sera accompagnée de la diffusion de Des voisins dans ma cour, un court métrage d’Eli Jean Tahchi, suivra une discussion entre ce dernier, Jenny Cartwright et David Cherniak.

► Le 20 juin, Jenny Cartwright et David Cherniak poursuivront la discussion après la projection.

Billets disponibles en ligne [+]

 

 

► Dossier de presse [+]

 

 

A propos de Jenny Cartwright

Jenny Cartwright explore les thèmes de l’autodétermination et des inégalités à travers des sujets tels la gentrification, le militantisme, le travail et la pauvreté. Ce parti pris pour les personnes mises à l’écart s’allie dans sa pratique à la poésie et aux manifestes. Alors qu’elle se questionne constamment sur la façon de raconter, passant d’une forme classique au film expérimental et de l’installation à la création sonore, sa pratique reste résolument documentaire.

© Jenny Cartwright, Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier, 2021

Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier
un film de Jenny Cartwright
à la Cinémathèque

PROGRAMMATION

Dès le 16 juin 2022
Cinémathèque québécoise



Vidéographe a le plaisir d’annoncer la sortie de Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier de Jenny Cartwright. Présentée à la Cinémathèque Québécoise, cette nouvelle œuvre de l’artiste célèbre la diversité, la richesse et l’unicité du quartier Parc-Extension dans le paysage montréalais.

Ce premier long métrage de Cartwright pose un regard attentif sur Parc-Extension, quartier le plus densément peuplé de Montréal. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier propose une série une série de tableaux intimes et contemplatifs sur celleux qui vivent dans ce secteur en pleine mutation. Particulièrement menacé par l’impitoyable gentrification, l’artiste observe le tissu social singulier du quartier. En soustrayant son œuvre au sous-titrage, Cartwright s’assure de traduire son expérience subjective de Parc-Extension où la barrière du langage est une réalité courante. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier se distingue ainsi autant par son lien évident avec l’actualité, que par ses choix esthétiques forts, de sorte que l’œuvre deviendra certainement un témoin incontournable de cette période marquante de l’histoire de Parc-Extension et de Montréal.

Présentée en première mondiale aux RIDM 2021, cette œuvre de Jenny Cartwright a été reçue comme une véritable découverte.

 

Projections et discussions autour de l’œuvre de Jenny

► Le 16 juin, une discussion entre Jenny Cartwright avec le directeur photo du film, David Cherniak, et un membre du Comité d’action Parc-Extension, ainsi qu’un cocktail de lancement suivront la projection.

► La projection du 18 juin sera accompagnée de la diffusion de Des voisins dans ma cour, un court métrage d’Eli Jean Tahchi, suivra une discussion entre ce dernier, Jenny Cartwright et David Cherniak.

► Le 20 juin, Jenny Cartwright et David Cherniak poursuivront la discussion après la projection.

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A propos de Jenny Cartwright

Jenny Cartwright explore les thèmes de l’autodétermination et des inégalités à travers des sujets tels la gentrification, le militantisme, le travail et la pauvreté. Ce parti pris pour les personnes mises à l’écart s’allie dans sa pratique à la poésie et aux manifestes. Alors qu’elle se questionne constamment sur la façon de raconter, passant d’une forme classique au film expérimental et de l’installation à la création sonore, sa pratique reste résolument documentaire.

© Jenny Cartwright, Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier, 2021

Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier
un film de Jenny Cartwright
à la Cinémathèque

PROGRAMMATION

Dès le 16 juin 2022
Cinémathèque québécoise



Vidéographe a le plaisir d’annoncer la sortie de Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier de Jenny Cartwright. Présentée à la Cinémathèque Québécoise, cette nouvelle œuvre de l’artiste célèbre la diversité, la richesse et l’unicité du quartier Parc-Extension dans le paysage montréalais.

Ce premier long métrage de Cartwright pose un regard attentif sur Parc-Extension, quartier le plus densément peuplé de Montréal. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier propose une série une série de tableaux intimes et contemplatifs sur celleux qui vivent dans ce secteur en pleine mutation. Particulièrement menacé par l’impitoyable gentrification, l’artiste observe le tissu social singulier du quartier. En soustrayant son œuvre au sous-titrage, Cartwright s’assure de traduire son expérience subjective de Parc-Extension où la barrière du langage est une réalité courante. Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier se distingue ainsi autant par son lien évident avec l’actualité, que par ses choix esthétiques forts, de sorte que l’œuvre deviendra certainement un témoin incontournable de cette période marquante de l’histoire de Parc-Extension et de Montréal.

Présentée en première mondiale aux RIDM 2021, cette œuvre de Jenny Cartwright a été reçue comme une véritable découverte.

 

Projections et discussions autour de l’œuvre de Jenny

► Le 16 juin, une discussion entre Jenny Cartwright avec le directeur photo du film, David Cherniak, et un membre du Comité d’action Parc-Extension, ainsi qu’un cocktail de lancement suivront la projection.

► La projection du 18 juin sera accompagnée de la diffusion de Des voisins dans ma cour, un court métrage d’Eli Jean Tahchi, suivra une discussion entre ce dernier, Jenny Cartwright et David Cherniak.

► Le 20 juin, Jenny Cartwright et David Cherniak poursuivront la discussion après la projection.

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A propos de Jenny Cartwright

Jenny Cartwright explore les thèmes de l’autodétermination et des inégalités à travers des sujets tels la gentrification, le militantisme, le travail et la pauvreté. Ce parti pris pour les personnes mises à l’écart s’allie dans sa pratique à la poésie et aux manifestes. Alors qu’elle se questionne constamment sur la façon de raconter, passant d’une forme classique au film expérimental et de l’installation à la création sonore, sa pratique reste résolument documentaire.