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© Pierre Hébert, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021

Le mont Fuji vu d’un train en marche, un film de Pierre Hébert
Première mondiale

PROGRAMMATION

Dès le 11 mai 2021
Cinémathèque québécoise

Tarification de la Cinémathèque québécoise



Vidéographe est fier d’annoncer que la première mondiale du dernier film de Pierre Hébert, Le mont Fuji vu d’un train en marche, aura lieu à la Cinémathèque québécoise dans le cadre de leur programme : Nouveautés.

Le film sera présenté les 11, 15 et 16 mai et suivi d’une discussion avec le réalisateur. La Cinémathèque québécoise présentera aussi une rétrospective de la série Lieux et mounments de Pierre Hébert dont Le mont Fuji vu d’un train en marche est le 11e chapitre, du 11 au 14 mai 2021.

 

Synopsis du film

Il s’agit d’une méditation poétique et animée sur les impressions laissées par deux voyages de Pierre Hébert au Japon, en 2003, puis en 2018. Des images et des sons, ainsi que des captations de ses performances, notamment celle avec le danseur-chorégraphe Teita Iwabushi, dont la prestation est un des fils conducteurs du film. Il n’y a pas de récit à proprement parler, mais une construction formelle, sonore et visuelle, appuyée sur une approche multidisciplinaire qui relie calligraphie, danse et gravure sur pellicule. D’une certaine façon, il en va d’une question fictive : que voit-on du Japon quand le mont Fuji est invisible, perdu dans les nuages? Évocation d’une invisibilité paradoxale.

Durée : 81 min

Genre : Animation, Expérimental

 

► Accédez à la programmation et billetterie [+]

► Bande annonce

 

À PROPOS

Pierre Hébert

Réalisateur de plus de quarante films dont trois longs-métrages, Pierre Hébert a travaillé à l’Office national du film du Canada de 1965 à 1999. Depuis, son travail a pris une ampleur multidisciplinaire (performances avec des musiciens, installations vidéo, collaborations avec des chorégraphes, dessin, et actions sur le web). Il a réalisé plus de quarante films dont trois longs métrages (La Plante humaine, 1996, Le Film de Bazin, 2017, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021) et a publié plusieurs livres sur le cinéma. Il a été récipiendaire , en 2005, du prix du Québec Albert-Tessier pour l’ensemble de son œuvre pour l’ensemble de son œuvre, en 2012, d’une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec et, en 2018, d’un doctorat honorifique de l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver. (pierrehebert.com)

 

Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise

Le Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise (CAECQ) a pour mission de programmer prioritairement des documentaires et des fictions indépendantes québécoises, mais également des documentaires internationaux, des films d’animation et des films étrangers sous-titrés en français en privilégiant les occasions de rencontres entre le public et les artisans des films. Sa programmation est présentée conjointement à celle de la Cinémathèque québécoise sous la mention Nouveauté. […]

© Pierre Hébert, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021

Le mont Fuji vu d’un train en marche, un film de Pierre Hébert
Première mondiale

PROGRAMMATION

Dès le 11 mai 2021
Cinémathèque québécoise

Tarification de la Cinémathèque québécoise



Vidéographe est fier d’annoncer que la première mondiale du dernier film de Pierre Hébert, Le mont Fuji vu d’un train en marche, aura lieu à la Cinémathèque québécoise dans le cadre de leur programme : Nouveautés.

Le film sera présenté les 11, 15 et 16 mai et suivi d’une discussion avec le réalisateur. La Cinémathèque québécoise présentera aussi une rétrospective de la série Lieux et mounments de Pierre Hébert dont Le mont Fuji vu d’un train en marche est le 11e chapitre, du 11 au 14 mai 2021.

 

Synopsis du film

Il s’agit d’une méditation poétique et animée sur les impressions laissées par deux voyages de Pierre Hébert au Japon, en 2003, puis en 2018. Des images et des sons, ainsi que des captations de ses performances, notamment celle avec le danseur-chorégraphe Teita Iwabushi, dont la prestation est un des fils conducteurs du film. Il n’y a pas de récit à proprement parler, mais une construction formelle, sonore et visuelle, appuyée sur une approche multidisciplinaire qui relie calligraphie, danse et gravure sur pellicule. D’une certaine façon, il en va d’une question fictive : que voit-on du Japon quand le mont Fuji est invisible, perdu dans les nuages? Évocation d’une invisibilité paradoxale.

Durée : 81 min

Genre : Animation, Expérimental

 

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À PROPOS

Pierre Hébert

Réalisateur de plus de quarante films dont trois longs-métrages, Pierre Hébert a travaillé à l’Office national du film du Canada de 1965 à 1999. Depuis, son travail a pris une ampleur multidisciplinaire (performances avec des musiciens, installations vidéo, collaborations avec des chorégraphes, dessin, et actions sur le web). Il a réalisé plus de quarante films dont trois longs métrages (La Plante humaine, 1996, Le Film de Bazin, 2017, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021) et a publié plusieurs livres sur le cinéma. Il a été récipiendaire , en 2005, du prix du Québec Albert-Tessier pour l’ensemble de son œuvre pour l’ensemble de son œuvre, en 2012, d’une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec et, en 2018, d’un doctorat honorifique de l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver. (pierrehebert.com)

 

Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise

Le Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise (CAECQ) a pour mission de programmer prioritairement des documentaires et des fictions indépendantes québécoises, mais également des documentaires internationaux, des films d’animation et des films étrangers sous-titrés en français en privilégiant les occasions de rencontres entre le public et les artisans des films. Sa programmation est présentée conjointement à celle de la Cinémathèque québécoise sous la mention Nouveauté. […]

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Le mont Fuji vu d’un train en marche, un film de Pierre Hébert
Première mondiale

PROGRAMMATION

Dès le 11 mai 2021
Cinémathèque québécoise

Tarification de la Cinémathèque québécoise



Vidéographe est fier d’annoncer que la première mondiale du dernier film de Pierre Hébert, Le mont Fuji vu d’un train en marche, aura lieu à la Cinémathèque québécoise dans le cadre de leur programme : Nouveautés.

Le film sera présenté les 11, 15 et 16 mai et suivi d’une discussion avec le réalisateur. La Cinémathèque québécoise présentera aussi une rétrospective de la série Lieux et mounments de Pierre Hébert dont Le mont Fuji vu d’un train en marche est le 11e chapitre, du 11 au 14 mai 2021.

 

Synopsis du film

Il s’agit d’une méditation poétique et animée sur les impressions laissées par deux voyages de Pierre Hébert au Japon, en 2003, puis en 2018. Des images et des sons, ainsi que des captations de ses performances, notamment celle avec le danseur-chorégraphe Teita Iwabushi, dont la prestation est un des fils conducteurs du film. Il n’y a pas de récit à proprement parler, mais une construction formelle, sonore et visuelle, appuyée sur une approche multidisciplinaire qui relie calligraphie, danse et gravure sur pellicule. D’une certaine façon, il en va d’une question fictive : que voit-on du Japon quand le mont Fuji est invisible, perdu dans les nuages? Évocation d’une invisibilité paradoxale.

Durée : 81 min

Genre : Animation, Expérimental

 

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À PROPOS

Pierre Hébert

Réalisateur de plus de quarante films dont trois longs-métrages, Pierre Hébert a travaillé à l’Office national du film du Canada de 1965 à 1999. Depuis, son travail a pris une ampleur multidisciplinaire (performances avec des musiciens, installations vidéo, collaborations avec des chorégraphes, dessin, et actions sur le web). Il a réalisé plus de quarante films dont trois longs métrages (La Plante humaine, 1996, Le Film de Bazin, 2017, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021) et a publié plusieurs livres sur le cinéma. Il a été récipiendaire , en 2005, du prix du Québec Albert-Tessier pour l’ensemble de son œuvre pour l’ensemble de son œuvre, en 2012, d’une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec et, en 2018, d’un doctorat honorifique de l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver. (pierrehebert.com)

 

Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise

Le Centre d’art et d’essai de la Cinémathèque québécoise (CAECQ) a pour mission de programmer prioritairement des documentaires et des fictions indépendantes québécoises, mais également des documentaires internationaux, des films d’animation et des films étrangers sous-titrés en français en privilégiant les occasions de rencontres entre le public et les artisans des films. Sa programmation est présentée conjointement à celle de la Cinémathèque québécoise sous la mention Nouveauté. […]